Se nourrir
n'est pas un privilège :
c'est un droit fondamental.

Des millions de personnes n’ont toujours pas assez à manger.
Ici comme là-bas, ce droit fondamental est bafoué.

Rejoignez les milliers de citoyens et citoyennes qui défendent ce droit en devenant semeur et semeuse d’un avenir durable !

Le droit de se nourrir n'est pas négociable.

Des millions de personnes souffrent toujours aujourd’hui de la faim — et pourtant, la plupart sont celles et ceux qui cultivent la terre : des familles paysannes du Sud.
Ici comme là-bas, chaque jour de faim est un cri d’injustice.


Ce droit fondamental est piétiné sous nos yeux.
La faim n’est pas une fatalité. Elle persiste non pas par manque de nourriture, mais à cause d’un modèle alimentaire industriel qui épuise les terres, appauvrit les paysans et paysannes, détériore notre santé et fait passer le profit avant la vie humaine.

Nous refusons de l'accepter.

Nous croyons au pouvoir des communautés locales.
C'est pourquoi, du Sahel (Mali, Burkina Faso, Sénégal) à la région des Grands Lacs (Ouganda, RDC) et jusqu'aux Andes (Bolivie, Pérou) et aussi ici, en Belgique, nous agissons à leurs côtés pour le droit de se nourrir dignement, en soutenant une agriculture respectueuse de l’humain, de la terre et de l’environnement.

Aujourd'hui, votre voix compte.

Plus que jamais, garantir le droit à l’alimentation exige une communauté engagée. Nous avons besoin de vous.
Ensemble, faisons de la faim une injustice du passé.

En signant ce manifeste, vous rejoignez une communauté engagée pour défendre le droit à une alimentation saine pour toutes et tous.

Pour vous remercier de votre engagement à nos côtés et vous aider à agir plus loin, vous recevrez un petit guide d’actions dans votre boîte e-mail.

Vous partagez notre combat ?
Signez pour le droit à l’alimentation !

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673 millions de personnes

en 2024 souffrent de la faim dans le monde (Afrique, Asie, Amérique latine et Caraïbes).

28% de la population mondiale

souffrent d’insécurité alimentaire sévère.

2,6 milliards de personnes

n’ont pas accès à un régime alimentaire sain.

Source : rapport de la faim 2024 des Nations unies

Faim dans le monde :
halte aux idées reçues !

Faites notre quiz en 2 minutes !

La faim dans le monde n'est pas toujours ce que l'on croit. Que savez-vous vraiment de ses causes et des leviers pour l'éradiquer ?

1
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Combien de personnes souffrent de la faim en 2024 ?

A
125 millions
B
673 millions
C
987 millions
D
Je valide la réponse
Bonne réponse !
Mauvaise réponse ;)

Selon les chiffres de 2024 des Nations unies, 673 millions de personnes souffrent de la faim, avec une hausse constante en Afrique et en Asie de l’Ouest. Cela montre que la faim reste un problème mondial majeur.

Question suivante
2
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Faim dans le monde : quelles sont les causes profondes ?

A
Il n’y a pas assez de nourriture dans le monde
B
Les catastrophes naturelles rendent toute production impossible
C
L’accès à la nourriture est limité par des inégalités, des politiques et des règles commerciales injustes
D
Je valide la réponse
Bonne réponse !
Mauvaise réponse ;)

Le monde produit suffisamment de nourriture pour répondre aux besoins de toute la population, pourtant 673 millions de personnes restent aujourd’hui confrontées à l’insécurité alimentaire. Ce paradoxe s’explique non pas par un manque de production, mais par des problèmes d’accessibilité liés à la pauvreté, aux conflits, aux inégalités et à des règles économiques injustes.

Question suivante
3
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Qu’est-ce que le droit à l’alimentation inclut ?

A
Seulement l’accès à de la nourriture
B
L’accès à la nourriture et la possibilité de se nourrir sainement
C
D
Je valide la réponse
Bonne réponse !
Mauvaise réponse ;)

Le droit à l’alimentation englobe non seulement l’accès à une quantité suffisante de nourriture, mais aussi à une alimentation nutritive et de qualité, essentielle pour la santé et la lutte contre la malnutrition, surtout dans les zones les plus vulnérables.

Question suivante
4
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Qui sont les principales victimes de la faim dans le monde ?

A
Les habitants et habitantes des grandes villes des pays du Sud
B
Les agriculteur·rice·s, les éleveur·euse·s ou les pêcheur·euse·s, et leur famille
C
Les populations nomades
D
Les personnes réfugiées dans les camps humanitaires
Je valide la réponse
Bonne réponse !
Mauvaise réponse ;)

Plus de la moitié des victimes de la faim sont des agriculteur·rice·s, des éleveur·euse·s, des pêcheur·euse·s et leur famille, qui ne parviennent pas à gagner un revenu suffisant pour se nourrir. C’est ce qu’on appelle le “paradoxe de la faim” : celles et ceux qui travaillent la terre et nourrissent le monde sont les premières victimes de la faim. Les crises humanitaires accentuent ce phénomène, mais la pauvreté en milieu rural reste la cause principale.

Question suivante
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Le droit à l’alimentation est-il un enjeu uniquement dans les pays à faible revenu ?

Bonne réponse !
Mauvaise réponse ;)

Même dans les pays industrialisés, le droit à une alimentation saine est mis à mal. En Europe, environ 11,5 % de la population — soit plus de 107 millions de personnes — souffre d’insécurité alimentaire, c’est-à-dire que l’accès à une alimentation saine, nutritive et régulière n’est pas garanti. Cette situation est aggravée par l’inflation alimentaire, qui rend les produits sains moins accessibles aux ménages à faibles revenus. Paradoxalement, l’alimentation industrielle, souvent moins chère, contribue à la progression des maladies, telles que l’obésité, le diabète ou des problèmes cardiovasculaires.

Question suivante

Votre score : 4 sur 5 !

Bravo, vous en savez plus sur la faim dans le monde et le droit à l'alimentation.

Mais comprendre ne suffit pas : il faut agir.
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Humundi : pour un monde plus juste.

Héritière de 60 ans de combat de SOS Faim, Humundi s’attaque aux causes profondes de la faim.

Nous ne distribuons pas l’aide d’urgence : avec nos partenaires locaux, nous donnons au monde paysan le pouvoir de construire des systèmes alimentaires justes et durables.

Nos modes d’actions :

Sur le terrain,

en soutenant l’agriculture paysanne dans le monde.

Au niveau politique,

en portant la voix du monde paysan.

Au niveau citoyen,

en mobilisant le plus grand nombre.